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  • 🎥 ère conseils on TV Episode #3 !

    Notre websérie se poursuit en partenariat avec #LOpinion, La To do list des Retraites épisode 3 animé par Olivier Baccuzat porte sur : 📚« Retraites : Quelles sont les conséquences du chômage partiel pendant l'épidémie de coronavirus ? » Guillaume Roquebert souligne l'importance : 🥊 "du chômage partiel mieux pris en compte : trimestres validés et des revenus retenus" 🥊 "pour les DRH, d'accompagner le départ en retraite de ses collaborateurs grâce à une cartographie. Une stratégie gagnant-gagnant " 🥊 " une stratégie qui garantit l'effet d'engagement des futurs retraités; biens accompagnés ils sont moins anxieux, plus sereins " 🥊 " Engager une discussion sereine entre DRH et collaborateur s'inscrit dans un dispositif efficace et bienveillant " 📆 Découvrez l'épisode #4 en septembre avec une belle surprise !

  • Entreprise, Retraite & Emploi * : se réinventer en temps de crise, un défi humain !

    Depuis février 2020, le monde – et particulièrement l’Occident – traverse une situation inédite, du point de vue sanitaire et du point de vue social. L’apparition du COVID 19 en novembre 2019 et sa propagation à travers le monde début 2020 poussent les États et les acteurs économiques à des réflexions et des innovations dans le domaine du travail. Ils prennent conscience qu’il faut se réinventer afin que l’économie se remette en marche tout se renouvelant. 1.Le chômage partiel : solution temporaire pour maintenir le pouvoir d’achat ? L’incidence de cette crise sur l’emploi est vertigineuse. Selon l’Organisation internationale du travail (OIT), 25 millions d’emplois dans le monde vont être détruits. La pandémie apporte son lot de destruction d’emplois et aussi de revalorisation de certains emplois jugés essentiels (santé) sans oublier la généralisation du télétravail. Actuellement, plus de 12 millions de salariés français sont en chômage partiel. Un dispositif dont le budget est estimé par l’État à plus de 24 milliards d’euros. Une mesure coûteuse pour les finances publiques, mais qui aurait pu être plus importante si l’État devait financer le chômage. Contrairement aux États-Unis qui voient le chômage de masse exploser avec plus de 26 millions de personnes concernées, l’État français, en investissant dans le chômage partiel, a pris le parti de financer les emplois et les outils de production. Les entreprises françaises ont pu maintenir leur activité, bien qu’impactées par la réduction de celle-ci, et éviter – à court terme ? – les licenciements. Le déconfinement et la reprise progressive des activités ont permis aux entreprises d’être à nouveau opérationnelles et de réduire progressivement le recours au chômage partiel. Malgré les différentes mesures mises en place, certaines entreprises à l’arrêt total pendant plus de deux mois vont faire face difficilement à une sortie rapide de crise. Ainsi, Air France souhaite mettre en place un plan de départ volontaire pour faire face à une crise sans précédent à cause de l’effondrement du trafic aérien. Malgré l’aide de 7 milliards d’euros octroyés par la France, la compagnie risque de ne pas pouvoir continuer son activité comme auparavant. Au même titre, Rolls-Royce, compagnie britannique, va supprimer pas moins de 9 000 postes. Les entreprises tentent tant bien que mal de faire face à cette situation et de sauver les emplois, mais toutes ne retrouveront pas l’activité d’avant-crise dans un avenir proche. Pour certaines, le réveil risque d’être brutal. Les départs volontaires pourraient être envisagés à court terme dans les entreprises qui ont anticipé le transfert des compétences, mais tout le monde ne se retrouve pas dans la même situation. *ère conseils vous apporte une solution intégrée à votre stratégie humaine et sociale. 2. La gestion des compétences, gage du rebond des entreprises ? Depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, le temps de travail en France a diminué et l’âge de départ à la retraite rallongé, avec l’allongement du nombre des années de cotisations. Compte tenu de la structure du marché du travail, les entreprises ont appris à raisonner en termes de coûts. L’image des « seniors » était figée, fondée sur les fausses idées qu’un « senior coûte cher, qu’il est moins rentable, moins rapide, moins compétent, moins… » Cependant, au regard des difficultés de recrutement sur certains postes, de la concentration géographique dans certaines zones et de l’évolution de la législation dans le domaine de l’emploi des « seniors », les entreprises ont compris le rôle et la place des « seniors » dans l’entreprise. Ainsi, certaines d’entre elles ont mis en place des programmes permettant le transfert et la conservation des compétences des plus âgés aux plus jeunes pour qu’elles ne perdent pas leur savoir-faire spécifique. Une période de crise est aussi un moment opportun pour se former, monter en compétence et permettre à tous les acteurs, salariés et entreprises de devenir plus compétitifs. D’autres, en revanche, sollicitent les « seniors » et les incitent à partir à la retraite pour permettre à tous ceux qui ne sont pas en âge de partir de pouvoir continuer à travailler et, ainsi, assurer leur salaire. Cette façon de faire aurait peut-être été mal perçue avant la crise sanitaire actuelle, mais elle peut se justifier dans cette situation inédite que traverse la France. Un départ à la retraite se prépare en amont. Vous avez le pouvoir de garantir le bien-être de vos collaborateurs et une gestion efficace des départs en retraite de vos seniors avec *ère conseils. Si vos collaborateurs ont une fausse idée de leur date de retraite et du montant de leurs futures pensions, votre DRH a encore plus de mal à déterminer une cartographie exacte des départs et le maintien des talents ! 3.Post-Covid : le maintien de l’emploi en ligne de mire Les dirigeants cherchent des solutions à un avenir incertain. La société tente de se réinventer et les innovations en matière d’emploi se développent. La relocalisation de certains emplois et outils de production est devenue également une question d’actualité. Le télétravail, qui a été perçu comme une exception pendant le confinement, pourrait devenir la règle dans les entreprises, à l’exemple de PSA : une transformation majeure pour l’entreprise qui demandera aux salariés de « renforcer le travail à distance…les activités non reliées directement à la production ». C’est ainsi que le DRH du groupe, Xavier Chéreau, a annoncé la décision du groupe de faire du télétravail la règle. Le maintien de l’emploi via le chômage partiel pourra être prolongé tant que les entreprises n’ont pas retrouvé un niveau d’activité satisfaisant. Pour les salariés avec des enfants de moins de 16 ans, le chômage partiel pourra être reconduit après le 1er juin sur justificatif de l’école qui devra indiquer qu’elle n’est pas en mesure d’accueillir l’enfant. Ces mesures pourront également être accompagnées par la mise en place des plans de départs anticipés à la retraite. Une telle mesure nécessite de la pédagogie, de l’humanité mais aussi de la solidarité de la part des dirigeants mais aussi des personnes en âge de partir. Le départ à la retraite s’insère alors dans une dynamique des ressources humaines et non plus seulement comme une gestion de sortie de l’entreprise Les départs à la retraite s'intègrent obligatoirement dans la stratégie de ressources humaines. *ère conseils, cabinet spécialisé dans la retraite vous permettra d’avoir une vision claire et cartographiée des départs en retraite de vos seniors, des compétences clés et de leur transfert. 4. Le bien commun : solution de sortie de crise Qu’est-ce que le bien commun qui est invoqué de plus en plus de nos jours ? Il peut être défini comme un ensemble qui appartient à tous et chacun, un ensemble de conditions sociales qui permettent à chacun de se réaliser pleinement. Dès lors, le bien commun d'une société ne consiste pas seulement dans une répartition équitable des richesses, mais aussi dans une vie sociale harmonieuse, guidée par le respect du prochain, dans un principe intégral. Il n’est donc pas simplement politique mais touche à tous les aspects de la personne, dans sa relation aux autres et à elle-même, dans le cadre social, économique, familial et personnel. C’est ainsi qu’avec le développement de l’écologie humaine intégrale, il appartient à chacun de prendre sa place la plus juste dans la société et jouer son rôle là où il se trouve. Cette situation doit être pour chacun un tremplin vers quelque chose de plus grand, de différent, de solidaire par rapport à l’avant-crise, un tremplin vers plus de responsabilité dans le respect de tous : des employeurs vis-à-vis de leurs collaborateurs en instaurant des revenus équitables, des collaborateurs vis-à-vis de leurs employeurs en s’impliquant pour le bien de tous. Le développement de la société doit se combiner avec l’épanouissement du salarié et son implication dans ledit développement. Le rôle de chacun, salariés et entreprise, est interdépendant. La société dans son ensemble doit se redécouvrir, se rebâtir sur un socle commun. Le développement d’une société ne peut plus être que financier, il doit être également plus humain. Tous les DRH devraient intégrer dans leur plan, accords et programmes cette dimension d'accompagnement de leurs seniors par *ère conseils. Adriana Mériaud ame@ereconseils.com Juriste-Consultante Retraites

  • 60% des pensions de retraites versées ou futures sont incorrectes (Cour des comptes)

    Une perte de pouvoir d'achat non négligeable ! Dans son rapport du 19 mai 2020, la Cour des Comptes s’insurge contre les caisses de retraite pour leurs erreurs de traitement répétées et en hausse d'années en années ! >> 221 500 retraites révisées en 2019 >> des erreurs évaluées à près 1,1 milliard d'euros >> Plus d’une pension sur sept est financièrement impactée ! (1 sur 5 en Ile de France…) D’où viennent les erreurs les plus fréquentes : Données inexactes ou manquantes de votre carrière ! (Toute période de travail compte ; stage, service militaire, arrêt maladie, chômage…) Systèmes informatiques peu fiables (entre employeurs, organismes tiers et caisses de retraite) avec insuffisance de contrôles intégrées et absence d’automatisation Erreurs de calculs ! Comment garantir le versement de pension que vous méritez ? Seuls la reconstitution de votre carrière, le contrôle des cotisations et des droits (revenus, trimestres, points),  la vérification juridique de votre dossier et le calcul de vos droits peuvent vous garantir de disposer de futures pensions optimisées et justes ! 🎥 Faites le point des erreurs les plus fréquentes en moins de 5 minutes ! Agir en amont ? Votre démarche personnelle doit suivre trois étapes : Créez un compte sur le site lassuranceretraite.fr et téléchargez votre Relevé de Situation Individuel Constituez un dossier contentant tous vos bulletins de paye, soldes de tout compte, attestations employeurs, relevés de carrière, de points, attestations pôle emploi, etc. Faites appel à ère conseils retraite pour vous accompagner, vous conseiller ; ère conseils retraite vérifiera juridiquement et techniquement votre dossier et vous pourrez lui déléguer sereinement la liquidation de vos droits à pensions de retraite (honoraires déductibles du revenu imposable : Rescrit du 06 mars 2012 n°2012-13) Et vous employeur, que pouvez-vous-faire ? Vous avez le pouvoir de garantir le bien-être de vos collaborateurs et une gestion efficace des départs en retraite de vos seniors. Si vos collaborateurs ont une fausse idée de leur date de retraite et du montant de leurs futures pensions, votre DRH a encore plus de mal à déterminer une cartographie exacte des départs et le maintien des talents ! Tous les DRH devraient intégrer dans leur plan, accords et programmes cette dimension d'accompagnement de leurs seniors par ère conseils ! 💡 Découvrez avec le Directeur des Richesses Humaine de FDJ leurs bonnes pratiques, Invitation limitée sur demande !

  • 5 étapes clés d’une liquidation réussie

    La retraite, un nouveau chemin de vie Partir à la retraite est un moment crucial dans une vie qui demande une préparation en amont et une stratégie plus qu’indispensable pour ne pas être surpris le jour J. De la même manière que l’on se préoccupe de sa carrière, il faut anticiper avec le même soin son départ à la retraite et ce quelques mois, voire quelques années à l’avance. Il est donc important de suivre certaines étapes pour partir sereinement. 1. Créer votre compte personnel sur le site de l’assurance retraite Tout assuré peut créer un compte personnel sur le site public assurance-retraite ou  info-retraite. Ainsi, vous pouvez télécharger votre « relevé de situation individuelle » qui est le récapitulatif de l’ensemble de votre carrière professionnelle. Il doit donc contenir année après année votre activité telle que vous l’avez exercée. Il contient vos droits de retraite ; dans le régime de base, cela se traduit par la validation des trimestres, et dans le régime complémentaire, par l’acquisition des points. Régime de base Vous pouvez acquérir 4 trimestres maximum par an. Cette validation de trimestres résulte de votre activité, des indemnités chômage, du service militaire, des indemnités maternités… En fonction de votre rémunération annuelle, vous pouvez valider 1, 2, 3 ou 4 trimestres annuels. (La validation des trimestres est une notion comptable. Si en 2019, vous avez eu une rémunération minimale de 6 018 €, vous validez 4 trimestres annuels.) Pour les assurés qui dépendent de plusieurs régimes (salariés du régime privé et indépendants par exemple), il n’y a pas de cumul possible. Autrement dit, vous ne pouvez pas valider plus de 4 trimestres annuels, même si votre relevé de situation indique plus de trimestres validés dans chaque régime. Régime complémentaire Tout au long de votre carrière, vous acquérez des points grâce aux cotisations de retraite obligatoires. Le cumul des points (ARRCO – pour tous les salariés – et AGIRC – pour les salariés cadre) déterminera vos pensions de retraite. En cas d’erreur de l’un ou l’autre régime, il est possible de demander les corrections en apportant la preuve que vous avez travaillé et cotisé : bulletins de salaire ou certificat de travail. Le décompte des points dans le régime complémentaire est en revanche légèrement plus ingénieux. Les points sont calculés chaque année selon des critères plus complexes comme le salaire de référence, la valeur du point et le plafond annuel de la sécurité sociale. Certaines entreprises ont fait le choix de cotiser plus que les cotisations obligatoires. Le calcul est donc à vérifier en prenant en compte votre revenu ainsi que le taux de cotisations applicable dans l’entreprise. « Le relevé de situation individuelle » doit donc refléter votre carrière entière aussi bien dans le régime de base que dans le régime complémentaire. Ledit relevé peut cependant contenir des erreurs ou des oublis. Dans cette situation, vos pensions peuvent être minorée. (À ce titre, lire le Rapport de la Cour des comptes de 2016 dans lequel il est précisé que 250 M€ n’ont pas été versés aux départs en retraite des assurés qui ont liquidé en 2015.) Depuis l’entrée en vigueur de la réforme des complémentaires AGIRC ARRCO initiée par l’ANI du 25 octobre 2015, le nouveau relevé de situation indique le décompte des points obtenus avant 2019 et la nouvelle conversion en points uniques AGIRC ARRCO. 2. Déterminer l’âge de départ Aujourd’hui, l’âge légal de départ à la retraite est fixé à 62 ans. Un assuré peut partir à 62 ans s’il a validé tous les trimestres ou attendre d’avoir le taux plein. Le taux plein, comme son nom l’indique, permet de bénéficier d’une pension pleine, sans décote ou minoration. Certains assurés choisissent l’âge de départ en fonction de critères personnels (un salarié travaille depuis longtemps et souhaite passer du temps avec son conjoint) ou professionnels (un salarié souhaite quitter son entreprise pour des raisons qui lui sont propres). Si la plupart des assurés part à 62 ans, il existe la possibilité de liquider ses droits à la retraite en raison d’une carrière longue. Ce régime, inscrit dans le Code de la sécurité sociale, permet à tout assuré qui a commencé à travailler relativement jeune – avant 20 ans – de pouvoir partir avant l’âge légal tout en bénéficiant du taux plein. Ainsi, si vous avez cotisé 5 trimestres avant vos 20 ans (ou 4 trimestres si vous êtes né en fin d’année), vous pourriez être éligible à la carrière longue. Les raisons du départ peuvent être variées, mais elles sont donc individuelles. À cela s’ajoute le montant des pensions qui est un élément de choix à arbitrer. 3. Déterminer le montant de la pension Le montant de la pension est le cumul des trimestres et des points. Plus un assuré cotise, plus ses pensions sont importantes. Cela dit, certains paramètres viennent directement impacter vos pensions : prenons l’exemple du système de Bonus/Malus (Cf ANI du 30/10/2015) sur le régime complémentaire: Avec malus Depuis le 1er janvier 2019, tout assuré qui liquide ses pensions de retraite au taux plein (à 62 ans ou plus tard) est soumis à un malus de 10 % pendant 3 ans sur ses pensions complémentaires. Une fois ce délai de 3 ans passé, vous toucherez les pensions que vous auriez dû percevoir avant l’application dudit malus. Sans malus Pour éviter ce malus, vous avez la possibilité de décaler d’un an votre retraite, soit en travaillant 4 trimestres de plus, soit en liquidant vos pensions avec un trimestre de moins (c’est-à-dire une liquidation à taux minorée). Si vous optez pour cette possibilité, une décote sera appliquée sur le trimestre manquant et elle sera définitive. Mais parfois cela vaut mieux que le malus pendant 3 ans ! Surtout pour les cadres… L’estimation de vos pensions de retraites vous permet d’anticiper une éventuelle baisse de votre train de vie après votre cessation d’activité et de prendre les dispositions adaptées. Elle vous permet également d’estimer vos pensions, de choisir la meilleure date possible de départ à la retraite ainsi que de vérifier que votre carrière est bien enregistrée. 4. Constituer le dossier Pour liquider votre retraite, vous devez rassembler au préalable tous les documents nécessaires. La circulaire CNAV 2017-3 du 17 janvier 2017[1] indique la liste nécessaire pour la constitution de votre dossier de liquidation : - la demande complétée et signée ; - une pièce justifiant de l’identité (carte nationale d’identité/passeport ou toute autre pièce justificative d’état civil) ; - une pièce justifiant de l’identité des enfants (livret de famille complet/extrait d’acte de naissance/décision de justice confiant l’enfant) ; - un relevé d’identité bancaire (RIB) ou relevé d’identité de caisse d’épargne (RICE) ; - une photocopie des derniers avis d’impôt ou de l’avis de situation déclarative à l’impôt sur le revenu ; - une attestation de l’employeur ou bulletins de salaires de la dernière année ; - un décompte d’indemnités journalières (ou une attestation) délivré par la CPAM des deux dernières années ; - une attestation de Pôle emploi des périodes de chômage pour la dernière année. 5. Liquider vos pensions Une fois que vous avez choisi la date de votre liquidation et avez rassemblé toutes les pièces demandées, il ne vous reste plus qu’à liquider vos droits à pensions. La procédure de liquidation n’est pas accordée automatiquement. Un délai de 4 à 6 mois est nécessaire avant la date souhaitée. Vous devez respecter les procédures et faire une demande auprès de chaque caisse de retraite auprès de laquelle vous avez cotisé. La demande unique de retraite Depuis 2019, les salariés affiliés au régime général de la sécurité sociale, au régime agricole ou au régime des commerçants et artisans, peuvent effectuer une « demande unique de retraite ». La demande peut être faite par papier ou par internet. Quel que soit le canal que vous avez choisi pour faire votre demande de liquidation, il faut le conserver tout au long de la procédure. Autrement dit, si vous avez choisi d’entamer la liquidation de vos pensions par papier, il faut conserver ce canal jusqu’au bout pour ne pas perturber le fonctionnement des échanges. En cas de changement de canal de communication, le risque est la perte de documents ou d’échanges. Si vous liquidez vos pensions par papier, une demande de liquidation est à faire auprès de chaque régime. Si, en revanche, vous liquidez vos pensions par internet, via votre compte France Connect (les impôts, le compte Ameli…), une seule demande suffit. Vous devez remplir le formulaire en ligne et ajouter les pièces justificatives demandées. A la fin de votre demande de liquidation, vous pouvez télécharger le « récapitulatif de votre demande de retraite » et le garder comme preuve de votre demande. Une fois l’instruction de votre dossier terminé, vous percevrez tous les mois un paiement de chaque régime de retraite. Les dates varient d’un régime à un autre. La CNAV procède au paiement jusqu’au 6 du mois suivant et les caisses complémentaires vers la fin du mois en cours. Si, malgré toutes les précautions que vous avez prises, vous constatez des erreurs de calcul, il est possible de faire un recours pour demander l’intégration correcte de tous vos droits. Adriana Mériaud ame@ereconseils.com Juriste-Consultante Retraites [1] https://www.legislation.cnav.fr/Documents/circulaire_cnav_2017_03_17012017.pdf

  • 🎥 ère conseils on TV Episode #2 !

    Notre websérie se poursuit en partenariat avec #LOpinion, La To do list des Retraites épisode 2 animé par Olivier Baccuzat porte sur : 📚«Pensez à numériser vos bulletins de salaire » Guillaume Roquebert souligne l'importance de : 🥊 "Conserver vos justificatifs dès vos premiers stages/emplois" 🥊 " Pensez à les numériser en haute qualité pour envisager toutes corrections " 🥊 " Vous êtes en profession libérale, votre expert comptable est votre meilleur allié " 📆 Découvrez l'épisode #3 le mois prochain pour de nouvelles astuces à ne pas rater !

  • 🎥 ère conseils on TV !

    Retrouvez notre websérie, en partenariat avec #LOpinion, La To do list des Retraites avec Guillaume Roquebert et Olivier Baccuzat 🧐«Attention, les relevés de carrière peuvent contenir des #erreurs» prévient Guillaume Roquebert avec L'Opinion animé par Olivier Baccuzat 🥊 « La fiabilité tient de l’ordre de la spiritualité » souligne @Guillaume Roquebert 🥊 95% des dossiers qui nous sont confiés contiennent des erreurs ! 🥊 25% d’augmentation des pensions en moyenne après notre intervention 📆Retrouvez nous le mois prochain pour de nouvelles astuces à ne pas rater !

  • Le COR fredonne le chant du cygne... la réforme bat de l'aile.

    Le COR (Conseils d'Orientation des Retraites) affirmait en 2017 que l'équilibre budgétaire serait atteint en 2032. Le Président Macron avait donc prévu dans son programme une grande réforme systémique pour plus d'équité et de simplicité, sans problème de financement ! Or aujourd'hui, dans son dernier rapport de juin 2019, le COR revoit sa copie et annonce un équilibre budgétaire à l'horizon... 2046, si la croissance atteint 1,8%, 2056 avec 1,5% et 2070 avec 1% de croissance ! Conseils retraite : Confortez vos acquis ! Vérifier que vos droits sont bien enregistrés et faites-vous accompagner pour disposer de choix et vous projeter en toute sérénité ! Démarches retraites : En 2019, dès 55 ans, il convient de faire les démarches adéquates pour optimiser ses futures pensions. Les leviers existent, mais encore faut-il être éligible. Les explications données, pour ce retour à l'équilibre plus tardif que prévu, sont illustrées, par exemple, par l'obligation d'intégrer le régime des retraites de la SNCF (après la réforme de la SNCF) au régime général : ajouter un déficit à un autre n'a jamais créé qu'un déficit plus important... En outre, comme partout, la pyramide des âges étant ce qu'elle est, il y aura plus de cheminots à indemniser que de cheminots qui cotisent ... et qui cotiseront moins (le régime SNCF est très généreux) ! Il était aussi prévu la suppression de 120.000 postes de fonctionnaires, qui ne va finalement pas s’opérer : un poids certain dans le budget. Les hypothèses de croissance de 1.5% en 2056 et de 1% en 2070 démontre que nous aurons besoin d'un financement de 1% du PIB/an, qui est égal à 20 milliards d'euros (13.8% des dépenses de retraite (11.8% en 2070)), afin de régler le déficit. D'ici 2022, si on ne change pas les conditions de retraite (taux de cotisation plus élevés, durée de cotisation, l'âge légal de départ à la retraite), le déficit peut passer de 0.2% à 0.4% du PIB/an (9 milliards d'euros). Donc pour lancer une grande réforme systémique des retraites, il semble nécessaire de s'attaquer dès à présent aux spécificités coûteuses de tous les régimes. Cependant, certaines mesures annoncées par le Président Macron doivent déjà être remises en cause, comme la revalorisation des retraites de moins de 1.000 et 2.000€ : elle coûterait 1.5 milliards d'euros dans le budget d'ici à 2020. Le gouvernement doit plancher sur des mesures économiques qui n'étaient pas prévu dans cette réforme systémique. La réforme Touraine propose, dès 2020, d'allonger le nombre de trimestres nécessaires pour partir en retraite... Dans le match Delevoye / Touraine, les paris sont ouverts ! Dans cette réforme des retraites, il n'y pas que des problèmes financiers mais aussi des risques sociaux. L'unification de 42 régimes promet des changements et des déceptions pour tout le monde, notamment le changement de l'âge légal du départ à la retraite qui passerait à 64 ans (sous couvert d'une nouvelle dénomination, le fameux nouvel "âge pivot"). Il semble qu'à défaut d'un projet de loi de réforme systémique cet été, nous ayons une loi-cadre en fin d'année... pas de changement à prévoir avant les élections de 2020.

  • CIPAV : Le grand changement

    La Caisse Interprofessionnelle de Prévoyance et d'Assurance Vieillesse - CIPAV - a été créée en 1977 grâce à la reprise du regroupement des Caisses de Retraite des Ingénieurs et des Architectes. La CIPAV est une section professionnelle de la Caisse Nationale d’Assurance-Vieillesse des Professions Libérales (CNAPVL). Dès janvier 2019, la CIPAV va changer de visage... Conseils retraite Evaluez dès à présent les impacts de changement de caisse ! ère conseils vous apporte conseils, calculs, scénarios afin que vous disposiez de choix et puissiez arbitrer sereinement. Démarches retraite Faites appel à nos experts retraite pour vous assister dans les démarches à effectuer. Ainsi, de 400 sections professionnelles, la CIPAV n'en regroupera plus qu'une vingtaine : les architectes, architectes d’intérieur, économistes de la construction, maîtres d’œuvre et géomètres-experts les ingénieurs-conseils les moniteurs de ski, guides de haute montagne et accompagnateurs de moyenne montagne les ostéopathes, psychologues, psychothérapeutes, ergothérapeutes, diététiciens et chiropracteurs Et encore : les artistes non affiliés à la Maison des artistes les experts automobiles et experts devant les tribunaux les conférenciers. Les indépendants dont la profession n’est plus comprise dans celles prises en charge par la CIPAV et/ou qui se sont installés en 2019, ont 5 ans (janvier 2019 → fin décembre 2023) pour rejoindre la Sécurité Sociale des Indépendants (SSI). #cipav #prevoyanceretraite #conseilsretraite

  • Très bonne année 2019 !

    En 2019, nous vous apportons de la visibilité, de l'anticipation, des optimisations, des calculs, des projections, des stratégies ! Salariés, Indépendants, Professions libérales, Dirigeants (pour vous et vos collaborateurs)... Tout pour vos droits retraite ! #retraite #2019 #conseilretraite

  • Prélèvement à la source - Prenez votre retraite en fin 2018 ou début 2019 !

    Si vous hésitiez encore et que vous pouvez le faire (après avoir vérifié ce point avec nous (ereconseils.com), prenez votre retraite en fin 2018 ou début 2019 ! Pourquoi ? Votre imposition sera calculée sur vos pensions 2019 ! & Vous ne payerez pas d'impôts sur vos revenus 2018 ! N'hésitez plus à nous confier votre dossier retraite. #conseilretraite #finance #impôt #retraite

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